Puisque tu cites J. André, impossible de ne pas référencer la lettre de GUTenberg de février 1994, qui fait quelques propositions. De Rozenn et Gaëlle Le Petit :
Ça, quel cafarnaüm d'ægipan ! Dépôt de whisky et xérès à l'île du jazz où vivait le maïs âpre, bien qu'il fût au cœur de la forêt.
De Jean Robert, deux propositions, une avec un æ et une sans :
Dès Noël, à Aÿ giboyeux où qu'œil fût, j'ai rêvé ça : Ésaü, aîné haï, ôtez de l'æthuse ce kiwi pâmé !
Dès Noël, à Aÿ giboyeux où qu'œil fût, j'ai rêvé ça : Ésaü, aîné haï, ôtez ce kiwi pâmé !
D'Emmanuel Saint-James, une épigramme :
À l'île exiguë
Où l'obèse jury mûr
Fête l'haï volapük,
Âne ex aéquo au whist,
Ôtez ce vœu déçu.
Il y a aussi celui qu'il cite souvent
Dès Noël où un zéphyr haï me vêt de glaçons würmiens
je dîne d’exquis rôtis de bœuf au kir à l’aÿ d’âge mûr
& cætera !
et qui si j'ai bonne mémoire provient du même concours.